• Je vous rapporte quelques croquis realisés cette semaine, alors que j'etions dans l'illustre cité de Condate a l'occasion de la biennale d'Art Contemporain (qui depotait sa race, soit dis en passant). Ce fut aussi l'occasion d'experimenter le dessin au pinceau-feutre.

     

     

     


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  • Voici la partie finale mon premier projet  realisé dans le cadre de mes etudes de design d'espace, le processus de recherche ainsi que le developpement de ma démarche arriveront bientot (quand les profs m'auront rendus les planches).


    Reliant le métro Villejuif au Musée MAC-VAL, le sentier des arts parcours le quartier populaire du Coteau Malassis, à cheval sur la commune de Villejuif et celle de Vitry-sur-Seine. L’initiative de ce sentier a été lancée par l’association des riverains « Bien vivre sur le coteau ». Ce quartier de proche banlieue a la particularité d’avoir été protégé des promoteurs immobiliers par la menace de la construction d’une autoroute, conservant ainsi son identité, entre urbanisme et ruralité.
    Le promeneur est invité a se frayer un chemin entre les maisons pittoresques et les jardins potagers au charme désuet. Quelques interventions artistiques réalisées par des enfants parsèment et balisent le sentier.

    On se propose de réaliser une série d’installations rythmant la promenade, dans le but de promouvoir les œuvres du musée d’art contemporain. Les trois installations présentent chacune l’image d’une œuvre et éventuellement permettent au promeneur de s’asseoir ou de s’abriter.

    L’enjeu est aussi bien de séduire les habitants du quartier que d’encourager les visiteurs du MAC-VAL à emprunter cet itinéraire.


    La présence du Musée d’art contemporain dans un quartier populaire de banlieue peut sembler surprenante. C’est une affirmation, politique et sociale, de l’appropriation populaire d’un art conceptuel souvent réservé aux élites.

     
       

    De fait, les œuvres présentées, ainsi que l’architecture du Musée est en parfait contraste avec l’ambiance du Coteau. Le parti pris est ici d’assumer ce décalage et d’affirmer l’installation comme une intervention pleinement contemporaine. 

     
       
     
    C’est cette idée d’une émergence de l’art en ces lieux que j’ai retenue, cette émergence rappelle aussi les nombreux végétaux et potagers qui côtoient le sentier.
    Il d’agit donc d’évoquer formellement une ambiance végétale et arborescente tout en donnant l’impression que l’installation émerge des éléments architecturaux a première vue banals du quartier : un mur, un lampadaire, le flanc d’une maison...
     

    Les oeuvres exposées seront présentées en anamorphose sur les éléments de l’installation. Ainsi pour les observer, le promeneur devra s’asseoir dessus afin de trouver le point de vue idéal, créant ainsi un rapport a la fois intimiste et public à l’œuvre, tout en évoquant l’idée de la subjectivité du regard de l’observateur.



     


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  • Me voila de retour de vacances d'ou j'ai ramené quelques croquis, voici donc un echantillon de mes observations concernant certains spécimens humanoïdes que j'ai cotoyé pendant ces 15 jours


    Désolé si c'est un peu flou, le carnet a spirale est super relou a scanner.

     

    ...A tres bientot

     


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